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Text File | 1999-11-11 | 24KB | 255 lines

AliasMenu

AliasMenu ajoute des menus personnalisés dans la barre de menus. Ces menus fonctionnent exactement comme le menu pomme et peuvent contenir n’importe quels types d’éléments (applications, documents, accessoires de bureau, dossiers, alias, tableaux de bord…).

Le choix d’un élément dans un menu provoque son ouverture, comme si l’on avait fait un double clic sur l’icône de l’élément. Les titres des menus peuvent être remplacés par des icônes pour prendre moins de place dans la barre, ou tout simplement pour la décorer à votre goût.


Quelques exemples de menus

• Un menu Applications, contenant des alias vers les applications que vous utilisez le plus souvent.

• Un menu Tableaux de bord, créé par un alias sur le dossier du même nom, qui donne un accès immédiat à tous les tableaux de bord. Vous pouvez aussi choisir de constituer vous-même un menu ne contenant que des alias sur les quelques tableaux de bord qui vous intéressent, plutôt qu’un menu complet.

• Un menu Utilitaires pointant vers d’autres applications à caractère utilitaire (anti-virus, logiciel de sauvegarde, etc.).

• Un menu Système contenant des alias du Dossier Système et de ses sous-dossiers, pour y accéder plus rapidement.

• Un menu Dossiers contenant des alias de vos dossiers les plus usuels ou contenant vos travaux en cours.

• Un menu Projet en cours constitué d’un alias sur le dossier contenant votre travail en cours, et dont le contenu reflétera automatiquement celui du dossier, donnant un accès immédiat à tous ses éléments.

• Un menu de scripts AppleScript, qu’AliasMenu exécutera directement (voir plus bas).

• Un menu de signets Internet partagés par toutes les applications et qu’AliasMenu activera directement.

• Un menu libellé au prénom de l’enfant, où il trouvera facilement les jeux et les dossiers qui lui appartiennent sur l’ordinateur… On peut ainsi décliner à l’infini les usages possibles.


Installation

AliasMenu nécessite le système 7.0 ou supérieur (le système 8.0 ou plus est recommandé) et un processeur 68020 au minimum. Il fonctionne sur tout Macintosh à partir du Macintosh II, sur tout Power Macintosh et sur tout ordinateur compatible MacOS. Certaines fonctions seront inactives avec un système antérieur au 7.5 ou en l’absence de l’extension Internet Config, sur laquelle AliasMenu s’appuie pour ses fonctions relatives à Internet.

Avez-vous bien la version à jour d’AliasMenu ? Vérifiez-le en visitant sur Internet le site d’AliasMenu. Cliquez sur l’URL dans le tableau de bord pour y accéder. Vous trouverez sur le site des informations de dernière minute sur AliasMenu, ainsi que tous les logiciels de l’auteur proposés au téléchargement. Le numéro de version d’AliasMenu est indiqué dans le tableau de bord.

AliasMenu doit être placé dans le dossier Tableaux de bord qui se trouve dans le Dossier Système, redémarrer ensuite le Macintosh.

AliasMenu crée un Dossier AliasMenu dans le Dossier Système, ainsi qu’un alias “1.Tableaux de bord” à l’intérieur de celui-ci, qui n’est autre qu’un alias sur le dossier du même nom. Vous pouvez ajouter d’autres sous-dossiers ou d’autres alias qui deviendront autant de menus ajoutés, ce premier menu donnant un accès direct à tous les tableaux de bord. L’alias “1.Tableaux de bord” créé par défaut peut bien sûr être supprimé, il n’est là qu’à titre d’exemple.

Le nom des dossiers doit commencer par un ou plusieurs chiffres suivis d’un point, suivi du titre de menu désiré. Les chiffres détermineront l’ordre des menus dans la barre.

Exemple :
    1.Dossiers    2.Applications    3.Utilitaires   (etc.)
ou si l’on souhaite plus de dix menus :
   01.Dossiers   02.Applications   03.Utilitaires
ou même :
  001.Dossiers  002.Applications  003.Utilitaires

— Il ne doit pas y avoir d’espace entre le chiffre et le point, ni entre le point et le nom. Un sous-dossier ou un alias dont le nom ne commence pas par un nombre suivi d’un point sera ignoré par AliasMenu.

— Il n’est pas nécessaire de “remplir” tous les nombres. On peut sauter par exemple de 10 en 10 pour laisser place à l’insertion future d’autres menus. On peut ainsi choisir de numéroter :
   00.Dossiers   10.Applications   20.Utilitaires   (etc.)
pour laisser largement place à d’autres menus ajoutés ultérieurement.

Les sous-dossiers peuvent bien sûr être remplacés par des alias sur d’autres dossiers. Notez que dans ce cas, le menu porte le nom de l’alias, et non celui du dossier pointé par l’alias : on peut ainsi définir le titre des menus en toute liberté. Il reste néanmoins nécessaire de modifier le nom de l’alias pour lui ajouter le préfixe numérique qui indiquera son emplacement dans la barre de menus.

Important : le Dossier AliasMenu lui-même ne peut contenir que des sous-dossiers (ou des alias de dossiers), dont les noms définissent l’ordre et les titres des menus. Si vous glissez un document ou une application dans le Dossier AliasMenu, cet élément sera ignoré. Il doit être placé dans un sous-dossier, afin de spécifier dans quel menu il doit apparaître.

Le nombre de menus ajoutés n’est pas limité, sauf bien sûr par l’espace disponible dans la barre de menus, notamment avec les applications qui installent déjà un grand nombre de menus. Si l’espace manque, les titres des menus seront affichés en texte condensé. Si ce n’est pas suffisant, certains menus ne seront pas affichés dans la barre, mais leurs raccourcis clavier continueront à fonctionner.

Le Dossier AliasMenu est créé par défaut dans le Dossier Système pour faciliter son accès. Toutefois, il peut librement être déplacé dans le dossier Préférences. Vous pouvez également le déplacer n’importe où ailleurs, à condition de le remplacer dans le Dossier Système (ou Préférences) par un alias portant le même nom.

Couleur du titre — Le titre d’un menu dans la barre prend la couleur de la famille du dossier. Si le menu est constitué par un alias de dossier, c’est la famille de l’original qui sera prise en compte.

Lorsque le changement de famille est effectué avec le menu contextuel (ctrl-clic sur le dossier) la couleur du titre change immédiatement, sinon il faut faire passer une autre application devant le Finder pour que le changement soit pris en compte.


O√π installer les menus

Par défaut, les menus s’installent dans toutes les applications. Le tableau de bord permet d’exclure une application avec laquelle un conflit apparaîtrait.

On peut choisir la solution inverse dans le tableau de bord : n’installer les menus que dans le Finder et dans quelques applications spécifiquement désignées.

Position dans la barre — Les menus peuvent être insérés à gauche du menu pomme, entre le menu pomme et le menu Fichier, ou après les menus de l’application.


Icônes dans la barre de menus

Si vous ne disposez que d’un petit écran, la barre de menus sera remplie très vite… Vous pouvez remplacer les titres des menus par des icônes pour regagner de la place. Si le sous-dossier (ou l’alias) correspondant au menu comporte une icône personnalisée, elle sera utilisée à la place du titre dans la barre de menus.

Pour personnaliser une icône, il suffit de coller une autre icône avec le Finder dans la fenêtre “Lire les informations” du sous-dossier concerné. Pour retrouver le titre du menu en texte, supprimer l’icône personnalisée du sous-dossier.

Si vous créez un alias sur un dossier du système, comme le dossier “Tableaux de bord”, vous pouvez ouvrir la fenêtre “Lire les informations” de l’alias pour y copier son icône et la recoller aussitôt sur elle-même, elle sera alors prise en compte par AliasMenu. Les alias sur les disques ont un comportement identique vis-à-vis de leur icône, elle doit être copiée et recollée pour apparaître dans la barre de menus.


Touches modificatrices

Si le choix dans le menu est effectué en maintenant la touche option  enfoncée, l’élément n’est pas ouvert, il est simplement affiché et sélectionné par le Finder qui ouvrira le dossier qui le contient.

Avec la touche commande ⌘, c’est la fenêtre obtenue avec “Lire les informations” qui apparaît.

Option  et commande ⌘ peuvent être combinées. Dans ce cas, le Finder ouvre la fenêtre contenant l’élément, le sélectionne et ouvre la fenêtre d’informations.

On peut insérer un séparateur (une ligne inactive dans le menu) en maintenant la touche majuscule  pendant le choix d’un article de menu.

Un séparateur est obtenu en créant dans le sous-dossier correspondant un document SimpleText vide. Le nom de ce document sera celui de l’élément sélectionné avec la touche majuscule, le dernier caractère étant remplacé par une parenthèse ouvrante. La présence de cette parenthèse a deux effets : classer alphabétiquement le séparateur immédiatement avant l’élément original et indiquer à AliasMenu qu’il s’agit d’un séparateur.

Pour supprimer un séparateur, choisir l’article situé juste en-dessous du séparateur à supprimer en maintenant simultanément les touches option  et majuscule . Autre méthode : ouvrir le sous-dossier correspondant au menu et glisser le document SimpleText à la corbeille.

Les documents SimpleText ainsi créés étant vides, ils ne prennent aucun espace sur le disque à l’exception de leur entrée dans le catalogue.


Réordonner les articles de menus

Il est possible de contrôler l’ordre des articles dans les menus exactement de la même façon que l’ordre des menus eux-mêmes. Ajoutez un préfixe numérique (1.Article, 01.Article ou 001.Article selon les besoins) aux éléments que vous souhaitez ordonner. Le texte apparaîtra comme “Article” dans le menu, sans le préfixe.

Comme pour les menus, il ne doit pas y avoir d’espace entre le chiffre et le point, ni entre le point et le texte qui suit.

Il n’est pas nécessaire d’ordonner tous les éléments d’un même dossier, mais les éléments ordonnés seront généralement placés en haut du menu, les chiffres ayant une “valeur” alphabétique inférieure aux lettres dans le code ASCII.

Pour forcer un élément en bas du menu sans numéroter tous les articles, utiliser le caractère “tilde” en préfixe. Ainsi, “~Article” apparaîtra comme “Article” et sera placé tout en bas du menu. Pour obtenir un tilde, taper option-N puis espace. L’accolade ouvrante { (option-parenthèse ouvrante), fermante } (option-parenthèse fermante) et la barre verticale | (option-L) peuvent également être utilisées de la même façon.


Raccourcis clavier

AliasMenu permet d’affecter des raccourcis clavier aux articles de ses menus. Aucune vérification n’est faite sur le caractère choisi : si le même caractère de commande apparaît dans plusieurs articles, le premier trouvé sera exécuté.

Pour assigner un raccourci clavier à un article, ajouter au nom du fichier (ou dossier, ou alias) correspondant une barre oblique /, suivie du caractère désiré pour le raccourci.

Pour éviter que les raccourcis d’AliasMenu n’entrent en conflit avec ceux des applications, le tableau de bord d’AliasMenu permet de choisir une autre touche modificatrice que la touche commande ou une combinaison quelconque de touches modificatrices, et de la réserver aux raccourcis d’AliasMenu. Par défaut, le modificateur d’aliasMenu est la touche contrôle (symbolisée par ctrl ou ). Le symbole apparaît dans le menu lorsqu’un élément est doté d’un raccourci.

Exemple : pour que la combinaison ctrl-T ouvre l’élément “Test”, renommer le fichier “Test/T”.

Dans le cas où une application serait gênée par ce détournement des modificateurs, il est possible de l’exclure dans le tableau de bord d’AliasMenu. Si aucune touche modificatrice n’est sélectionnée dans le tableau de bord, les raccourcis clavier sont entièrement désactivés.


Sous-menus hiérarchiques

AliasMenu ne permet pas directement la création de menus hiérarchiques. Toutefois, lorsque BeHierarchic (version 4.0 ou plus) est installé, il supporte les sous-menus hiérarchiques dans les menus d’AliasMenu exactement comme dans le menu Pomme.

BeHierarchic est un beau programme écrit par Fabien Octave. C’est essentiellement un remplacement pour Options Menu Pomme avec de nombreuses options supplémentaires. BeHierarchic est disponible à <http://www.octave.net/BeHierarchic>.

Pour activer les sous-menus hiérarchiques dans AliasMenu, ouvrir le tableau de bord de BeHierarchic, sélectionner la page “Third Parties” puis cocher la case “Add submenus to AliasMenu”. Les menus d’AliasMenu deviennent immédiatement hiérarchiques.


Éléments regroupés

Lorsqu’un menu contient un dossier et que l’article correspondant est sélectionné, le comportement normal d’AliasMenu est d’ouvrir le dossier sur le Finder. Si le nom d’un dossier se termine par le caractère étoile *, AliasMenu n’ouvre pas le dossier mais ouvre tous les éléments qu’il contient.

Exemple : un dossier Internet* contenant des alias de FreePPP, Eudora et Netscape. L’activation de l’article de menu ouvrira ces trois applications en une seule commande. Il est possible de combiner l’étoile avec un raccourci clavier, par exemple de nommer le dossier Internet*/K pour que la frappe de ctrl-K lance d’un coup les trois applications.

Note : les alias sont lancés par ordre alphabétique. En modifiant leur nom de la manière appropriée, il est possible de contrôler l’ordre de lancement des applications et donc de déterminer laquelle sera au premier plan à la fin de ce lancement multiple.


Insertion de texte

AliasMenu peut insérer votre nom et vos coordonnées, ou tout autre texte que vous êtes amené à répéter fréquemment.

Ouvrez SimpleText et tapez le texte souhaité, puis sélectionnez-le et faites-le glisser sur le bureau. Le Finder fait apparaître une icône d’extrait. Donnez un nom approprié à cet extrait, et placez-le dans un dossier d’AliasMenu.

Lorsque l’article de menu correspondant est choisi, AliasMenu “tape” le texte de l’extrait dans l’application courante. Pour interrompre l’insertion, cliquer dans le texte.

Pour un accès encore plus rapide aux extraits les plus fréquemment utilisés, affectez-leur un raccourci clavier. Par exemple, ctrl-A pour votre adresse.

Cette insertion de texte n’est pas active si le Finder est au premier plan, ni lorsque l’application active ne reconnaît pas les AppleEvents. Dans ces deux cas, la sélection d’un extrait de texte provoque simplement son ouverture.


Exécution de FKEY

Une FKEY (pour “Function Key”) est une ressource de code exécutable, habituellement installée dans le System et que l’on active normalement avec une combinaison commande-majuscule-chiffre. Certaines combinaisons sont réservées par Apple, par exemple cmd-maj-1 pour éjecter la disquette.

AliasMenu peut activer une FKEY depuis un article de menu. On peut ainsi dépasser la limite des dix FKEY autorisées par le système.

Certaines FKEY très simples remplacent avantageusement des utilitaires beaucoup plus lourds, par exemple pour insérer la date dans un texte, “monter” une cartouche extractible, placer des symboles de citation au début des lignes copiées, réaliser une copie d’écran, etc. Les bibliothèques de freewares et sharewares sur Internet contiennent des dizaines de FKEY intéressantes.

Attention : une FKEY s’exécute dans le contexte de l’application courante. Si vous installez une FKEY dont la stabilité ou la qualité n’est pas certaine, enregistrez votre travail systématiquement avant d’exécuter la FKEY. Inversement, l’avantage de la FKEY est son caractère fugitif. Elle n’est chargée qu’au moment de son exécution, puis elle est purgée de la mémoire. De ce fait, une FKEY pose souvent moins de problèmes de compatibilité qu’une extension ou un tableau de bord.

Avec ResEdit, copier la FKEY dans un fichier en donnant au fichier le type 'FKEY' et le creator 'aMn2' (c’est la signature d’AliasMenu). Placer ce fichier dans un dossier d’AliasMenu. Le nom du fichier peut être différent de celui de la FKEY.

Si un fichier contient plusieurs FKEY, seule la première trouvée sera exécutée. Le numéro d’id de la FKEY n’a aucune importance, il n’y a aucun risque de collision si les différentes FKEY portent le même id dès lors qu’elles sont placées chacune dans un fichier distinct.

Comme pour les autres articles d’AliasMenu, il est possible d’affecter n’importe quel raccourci clavier à une FKEY, par exemple ctrl-D pour taper la date.


Exécution de scripts AppleScript

AliasMenu peut lancer l’exécution de scripts AppleScript s’ils sont enregistrés sous forme de mini-applications. Quelle que soit l’application active au moment du lancement du script, celui-ci crée son propre contexte d’exécution et peut à son tour activer ou lancer une autre application.


Alias sur un volume non monté

Lorsque l’alias d’un volume absent est placé dans un menu d’AliasMenu, la sélection de l’article provoque le montage du volume, avec éventuellement l’apparition du dialogue de mot de passe AppleShare, ou, s’il s’agit d’un volume éjectable, de l’alerte invitant à insérer le disque.

Si ces alias sont placés dans des menus en tant qu’articles, aucune précaution particulière n’est nécessaire. On peut donc utiliser AliasMenu pour créer un menu de serveurs, le montage d’un serveur n’intervenant que lorsque l’article est sélectionné.

Si un tel alias est utilisé directement pour créer un menu, le menu n’apparaît que si le volume est visible sur le bureau du Macintosh. Si le volume est éjecté ou “démonté”, le menu disparaît.


Internet, URL

Les navigateurs permettent de faire glisser un signet sur le bureau, ce qui a pour effet de créer un petit fichier contenant l’URL correspondant. Ces fichiers peuvent être directement utilisés pour composer des menus de signets, qui deviennent ainsi indépendants du navigateur. Lorsqu’un URL est activé depuis AliasMenu, la page correspondante s’affiche dans le navigateur.

Une astuce utile : assignez des raccourcis clavier aux pages web que vous visitez fréquemment.


Utilisateurs multiples

AliasMenu supporte entièrement les utilisateurs multiples, disponibles avec Mac OS 9 ou supérieur. Chaque utilisateur dispose de ses propres préférences, réglages et menus.

Lorsque le mode “Utilisateurs multiples” est actif, le Dossier AliasMenu doit être placé dans le dossier Préférences, car le Dossier Système n’est pas accessible aux utilisateurs limités. Les menus d’AliasMenu ne sont pas disponibles pour les utilisateurs en mode “panneaux”.


Shareware

AliasMenu est diffusé en shareware : si vous l’utilisez, vous devez le payer. Une licence personnelle coûte 150 FRF, ou 25 Euros, ou US$ 25.

Des licences de site sont disponibles, ainsi que des tarifs diminués pour les étudiants. Une licence de site est limitée à un rayon de 160 km (ou 100 miles). La licence mondiale n’a pas cette limite. Voir le formulaire d’enregistrement Kagi pour les détails et les tarifs.

L’enregistrement du shareware passe par Kagi, un service américain qui centralise les enregistrements pour de nombreux auteurs dans le monde entier. Kagi accepte le paiement par carte bancaire et propose plusieurs méthodes pour s’enregistrer :
— un site Web sur lequel on peut entrer un numéro de carte, protégé par un protocole sécurisé ;
— un enregistrement par e-mail, par télécopie ou par courrier postal.

Cliquer sur le bouton Enregistrement Shareware dans le tableau de bord. Pour vous rendre directement sur le site Web et vous enregistrer en ligne, cliquez sur le bouton Enregistrement en ligne sur le site Web sécurisé de Kagi. C’est la méthode la plus simple et la plus rapide. Le protocole SSL utilisé pour encrypter la transmission offre un très bon niveau de sécurité.

Si vous préférez un enregistrement par e-mail, fax ou courrier postal, cliquez sur le bouton Enregistrement par Kagi (e-mail, fax)… Remplissez les champs du formulaire d’enregistrement, choisissez le mode de règlement, puis envoyez ces informations à Kagi (copiez-les pour les coller dans un e-mail, ou imprimez-les pour les envoyer par fax ou par courrier postal). Si vous envoyez votre enregistrement par e-mail, adressez-le à <[e-mail]>, et non à l’auteur. Quelle que soit la méthode choisie, le numéro de carte bancaire est toujours transmis dans une forme protégée par un encryptage.

Note pour les Français : l’enregistrement direct auprès de l’auteur est toujours possible, mais exclusivement avec un règlement par chèque sur une banque française (tout autre mode de règlement, notamment la carte bancaire, doit passer par Kagi). Pour effectuer cet enregistrement direct, cliquez sur le bouton “Enregistrement Shareware” puis sur “Enregistrement direct”, imprimez le formulaire d’enregistrement qui apparaît, complétez-le et joignez-le à votre règlement.

En retour de votre règlement, vous recevrez un numéro de série qui vous permettra de personnaliser votre exemplaire d’AliasMenu. Cette personnalisation fera disparaître les messages de rappel qui apparaissent à la fin du premier mois d’utilisation.

La mise à jour en version 2 est gratuite pour les utilisateurs enregistrés de la version précédente. Envoyez un message à l’auteur avec votre nom complet et le nom de votre société (s’il y a lieu) pour recevoir sans frais votre numéro de série personnel. (L’adresse e-mail de l’auteur est indiquée dans le tableau de bord.)

AliasMenu ne doit pas être distribué sur un support payant sans l’accord préalable de l’auteur. Il peut être proposé en téléchargement, à condition que le téléchargement ne fasse pas l’objet d’une surtaxe spécifique.


Garantie

Le programme doit fonctionner tel que décrit ici. Si ce n’est pas le cas, et si l’auteur ne peut pas corriger le problème, glissez le programme à la corbeille et demandez son remboursement à l’auteur (jusqu’à une année après votre enregistrement).

L’auteur, Benoît Widemann, décline par avance toute responsabilité relative à ce programme et aux conséquences pouvant résulter de son usage. L’auteur ne sera en aucun cas tenu responsable de dommages directs ou indirects, de pertes de données ou tout autre accident, même s’il a été préalablement avisé de la possibilité de tels dommages. La personne utilisant ce programme accepte l’entière responsabilité des risques relatifs à son utilisation. Certaines clauses supplémentaires relatives au gouvernement des États-Unis se trouvent dans la version anglaise de ce texte et s’appliquent quelle que soit la langue utilisée.

Cela dit, en cas de problème, envoyez un message à l’auteur.


Remerciements

Remerciements chaleureux aux indispensables bêta-testeurs d’AliasMenu : Cécile Roumiguière, Ellen Herzfeld, Dominique Martel, David Allouche, Florian Innocente, Frank Lefebvre, Hubert Figuière, Philippe Potier, Vincent Motte, Fabrice Authenac, Gérald Kerma, Michel Benita, Gilles Burstin, Jean-Michel Kajdan, Gérald Athanase, Gilles Berkovitch, Byr Genar-Hofoen.

D’autres programmes fonctionnent très bien avec AliasMenu. Un remerciement particulier à leurs auteurs :
BeHierarchic par Fabien Octave,
Default Folder par Jon Gotow,
Glidel par Gilles Berkovitch,
Apple Click par Kevin Parichan,
AliasMenu Suite par Mark Hoover.
Des liens vers tous ces programmes sont disponibles sur la page web d’AliasMenu.


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